Etoffes de vie

Le 17 février à 17h, j’avais rendez-vous à l’espace n° 5 du salon Art Up 2018. De tables de petit déjeuner en table ronde, j’étais en navette des marais vers le Grand Palais, de M sur m à Lille.

Une table ronde dans le Salon d’un grand Palais. Programme parfait !

Christine Vandrisse, présidente de l’association Colophon et Filigrane, avait eu la belle idée au coeur de ce salon d’art contemporain, d’introduire un moment de conversation. Elle avait fait de l’espace qui lui était dédié, une maison où il faisait bon s’arrêter.

Photographie © ChristineVandrisse, avant l’arrivée des visiteurs

Sourire en arrivant, l’accueil du prince charmant du Grand Palais, un chevalier de table ronde.

Le sujet souhaité par Christine Vandrisse était celui ci :

Y a-t-il une limite au livre ?

Matière, volume, taille, espace, Fond/Forme. À l’ère numérique le livre se multiplie, se réinvente.

Je suis arrivée avec un mot text’styles, un mot pour entrer en conversation,pour ouvrir les chemins de l’exploration du volume, de la limite, de la réinvention du livre : étoffe.

Voir : L’étoffe du livre

Nous avons exploré les matières, exploré les sens. Des pistes et des chemins très riches se sont dessinés. L’amour du papier, la sensualité, la recherche d’un mouvement unique, et finalement toujours l’étoffe de la vie.

Gerda Adelski : en quête de fibre et de vie